Ahhh le mémoire de Master MEEF, quel déplaisir ! Durant mes deux années de formation, j’ai accumulé une montagne de brouillons, réécrit mon plan à plusieurs reprises (des segments entiers de mon mémoire ont été modifiés en cours de route donc des heures de travail dans le vent), et, pour couronner le tout, j’ai ajouté des annexes à la dernière minute parce que, bien sûr, il manquait d’illustrations (oupsi). Mais malgré toutes mes galères, j’ai décroché un 16/20 à mon mémoire en fin de M2 et j’en suis extrêmement fier ! Comment j’ai fait ? Eh bien, pas de recette magique malheureusement : pas mal de travail personnel, d’organisation, d’ajustements et de motivation pour en venir à bout.
Et dans cet article, je vais justement partager avec vous ce que j’ai appris en chemin, histoire que vous puissiez, vous aussi, aborder la rédaction de votre mémoire de façon plus “zen” et structurée. Même si l’article vise le MEEF premier degré, certains conseils s’appliquent aussi au second degré. Vous trouverez aussi des exemples de mémoire ci-dessous ainsi que des conseils d’organisation (notre cher master est connu pour être horrible au niveau de la pression des études….).
Qu’est-ce qu’un mémoire ?
Le mémoire est avant tout un dossier écrit. Il contient entre 30 et 120 pages selon les universités. L’objectif en Master MEEF est de travailler sur un sujet précis en lien avec une ou des situations d’enseignement. C’est un travail de recherche : vous devez collecter des données en ligne à partir de sources différentes (articles scientifiques, revues, etc…) qu’il faut croiser, réaliser des expérimentations et rendre compte de vos résultats en lien avec votre problématique de travail.
Les caractéristiques stylistiques, le contenu requis et la structure de votre mémoire peuvent déprendre de votre université : souvent, un document de cadrage existe avec tout ce qu’il faut savoir (police d’écriture Arial taille 11 espacement 1,5 par exemple pour moi). Le rendu du mémoire se fait souvent en M2 avec une soutenance orale devant un jury pour revenir sur vos résultats.
Trouver un sujet et une problématique pour le mémoire de Master MEEF
Votre sujet doit concerner une seule discipline (ex : maths) et un domaine (ex : résolution de problème). Il doit être assez vaste au début pour être ensuite recentré autour d’éléments plus précis qui posent question. Choisissez un sujet qui vous attire et dont vous avez déjà des connaissances pour gagner du temps et tenir sur la durée lors de la rédaction (facteur motivation).
La problématique, c’est simplement l’art de poser des questions pertinentes. En croisant deux concepts, on crée une sorte de « dialogue » / de « confrontation » entre eux, ce qui aide à clarifier votre réflexion et suivre un fil directeur tout au long de votre recherche. Par exemple, si on combine le calcul mental avec l’enseignement en classes dédoublées, cela permet de mieux cibler votre sujet et de réduire le problème à un cas spécifique traitable lors d’une expérimentation. Ce croisement de concepts facilite l’émergence de réflexions pertinentes pour faire le tour de votre sujet.
Exemple d’un sujet, d’une problématique et d’un plan complet – mémoire Master MEEF
Sujet = « LE CALCUL REFLECHI EN CE1 : CALCUL@TICE COMME OUTIL DE REMEDIATION ? »
Problématique = « L’outil numérique, et en l’occurrence ici calcul@tice, peut-il constituer un outil de remédiation efficace face à des difficultés persistantes en calcul réfléchi ? En offrant des interfaces inédites, des modes d’action différents, peut-il permettre de surmonter des difficultés résistant à d’autres types de remédiation ? Peut-il constituer une nouvelle voie d’apprentissage, capable de provoquer un « déclic » chez certains élèves, et donc un nouvel outil performant à intégrer dans les dispositifs de différenciation pédagogique ? »
Auteur = MARIE DESMADRYL-GABRIEL ; Directeur de mémoire = PIERRE CAMPET
Introduction ………………………………………………………………………………………….. 3
- Le calcul réfléchi : définition et enjeux ……………………………………………… 5
1.1. Définition du calcul réfléchi …………………………………………………………………………..5
a) Calcul réfléchi versus calcul automatisé …………………………………………………………………………………..5
b) Calcul mental, calcul écrit, calcul instrumenté ………………………………………………………………………..6
c) Un calcul réfléchi qui va au-delà du strict calcul …………………………………………………………………….7
d) Calcul exact et calcul approché …………………………………………………………………………………………………..8
1.2. Les enjeux liés au calcul réfléchi…………………………………………………………………….9
a) Les enjeux pratiques du calcul réfléchi……………………………………………………………………………………..9
b) Les enjeux liés à l’enseignement du calcul réfléchi ………………………………………………………………..9
c) La place du calcul réfléchi dans les programmes scolaires ……………………………………………….12 - Les activités mises en place et les difficultés rencontrées………………….. 14
2.1. Les objectifs visés ………………………………………………………………………………………..14
a) Se forger une représentation solide des nombres et des liens qu’ils établissent entre
eux 14
b) Mémoriser les résultats courant qui serviront de points d’appui pour les calculs ………14
c) Développer les premières stratégies de calcul……………………………………………………………………..15
2.2. Les activités proposées…………………………………………………………………………………15
a) Les fiches de calcul ……………………………………………………………………………………………………………………..15
b) Les jeux ………………………………………………………………………………………………………………………………………….17
c) Le fichier de mathématiques…………………………………………………………………………………………………….19
2.3. Les élèves en difficulté………………………………………………………………………………….20
a) La suite des nombres n’est pas maîtrisée………………………………………………………………………………20
b) L’ordre de grandeur des nombres n’est pas compris………………………………………………………….21
c) Les points d’appui habituels ne sont pas mémorisés ………………………………………………………….22
d) Le surcomptage est utilisé systématiquement pour tous les calculs……………………………….22
2.4. Les remédiations mises en place …………………………………………………………………..22 - Les atouts d’un outil numérique tel que calcul@tice………………………… 24
3.1. Présentation de l’application calcul@tice ……………………………………………………..24
3.2. L’intérêt « a priori » d’un outil numérique …………………………………………………..27
3.3. Les séances mises en place ……………………………………………………………………………29
3.4. Le bilan……………………………………………………………………………………………………….31
a) Les points positifs ……………………………………………………………………………………………………………………….31
b) Les points de vigilance……………………………………………………………………………………………………………….34
Conclusion…………………………………………………………………………………………… 39
Source : Marie Desmadryl-Gabriel. Le calcul réfléchi en CE1 : calcul@tice comme outil de remédiation. Education. 2017. ⟨dumas-01407980⟩ – Mémoire disponible dans une base publique de données (DUMAS)
Mon expérience : la rédaction de mon mémoire, un jeu d’équilibriste
Au départ, choisir un sujet et une méthode de travail cohérente
Lors de ma rédaction, j’ai dû naviguer sur une mer agitée : le mémoire n’était PAS ma priorité (coucou les stages, les partiels et sans oublier le concours !). Ce contexte chargé a été à la fois une source de stress et d’apprentissage : faire vite, faire bien, être le plus efficace.
Au début, en M1, le principal défi était le choix du sujet et le plan. J’ai préféré m’orienter vers ce que je maîtrisais le mieux pour ne pas avoir à tout découvrir (en didactique du français). Pour le plan, j’en ai peut-être fait deux-trois avant que ma directrice de mémoire ne valide la direction à prendre.
Première difficulté, trouver le bon rythme de croisière entre le temps de recherche et le temps de rédaction. J’ai même essayé de faire les deux en même temps au début mais j’ai vite abandonné. Voici pourquoi : à force de chercher à droite à gauche les informations, mon propos commençait à partir dans tous les sens et c’était un cauchemar à réorganiser. Quelle perte de temps !
Vous préparez le CRPE ? Quelques conseils et informations utiles disponibles ici : https://bureaudesprofs.com/faq-au-sujet-du-crpe
L’organisation, le maître-mot pour tenir les deux années de master
Notre mémoire était à rédiger sur deux ans, ce qui est avantageux ! J’ai pu le poursuivre pendant les vacances d’été (sacrilège, je sais). Pour me faciliter la vie, j’ai créé deux docs : l’un pour écrire mes trouvailles (noms d’auteur, fiches de lecture, liens d’articles de recherche, de revues, d’albums jeunesse, etc.) et le second pour rédiger mon mémoire, sous forme de brouillon.
Pour l’organisation et la gestion du temps, j’ai décidé de me fixer d’abord des objectifs réalisables sur le temps court. Le chronomètre était allumé à chaque session. Au lieu de me noyer dans l’ampleur du projet (parce que c’était ce qui aller m’arriver), j’ai commencé à décomposer le tout en petites tâches, en suivant mon plan. Chaque semaine, je définissais ce que je devais accomplir sur une feuille blanche que j’annotais de mes remarques avec le temps passé à faire chaque tâche. De façon croissante, avoir ce petit registre a été très utile pour calculer le temps que certaines parties de mon mémoire allaient me prendre.
Aussi, j’ai créé un « tableau de bord » avec des échéances et des objectifs intermédiaires pour ne pas commencer à musarder (flâner, mais musarder est plus drôle – n’hésitez pas dans vos copies à utiliser ce genre de mots rares, les profs adorent vous faire la remarque lors de la soutenance orale). Ce tableau me permettait de suivre mes progrès (sous forme de checklist), le nombre de pages et de m’assurer que je restais dans les temps. En effet, on avait plusieurs versions à rendre pour que nos directeurs de mémoire puissent suivre notre progression (je visais toujours à rendre mon mémoire en avance pour le modifier rapidement quand l’enseignante le commentait).
Pour résumer, votre organisation doit être simple. Quelques documents, au format papier c’est toujours préférable. Évitez à tout prix la procrastination, c’est à dire le fait de remettre au lendemain et respectez les échéances que vous vous fixez.
Faites des pauses et soyez synthétique !
Ce qui m’a fait beaucoup de bien, c’est de rédiger des premiers jets au feeling puis repasser derrière plusieurs jours plus tard. Je voyais les choses différemment donc j’ai pu nourrir une réflexion plus aboutie ! Aussi, je vous conseille vraiment d’être synthétique. Faites des phrases courtes. Cela va vous sauver la vie et de précieux points. Moins de temps passé à relire des phrases alambiquées, c’est ça de gagné !
Un autre aspect à ne pas négliger : votre santé ! N’hésitez pas à définir des horaires de travail pour le mémoire (par exemple pour moi, 18h – 20h en semaine, 8h – 12h le week-end quand c’est possible, lol). Avec des horaires fixes, quand le minuteur sonne, c’est terminé ! Pas un mot de plus. En travaillant sur plusieurs semaines, votre écrit va être nourri d’un travail régulier et mieux réfléchi que s’il avait été rushé en quelques heures. Prenez votre temps.
Faites des pauses ! Travailler sans interruption peut sembler productif, mais cela peut rapidement mener à l’épuisement. J’ai intégré des pauses régulières dans mon emploi du temps pour recharger mes batteries et revenir à mon travail avec un esprit plus clair. C’était normal pour moi d’avoir des semaines « sans mémoire » à caser. Pensez à vos autres priorités.
Faites lire votre travail par d’autres personnes
J’ai beaucoup progressé avant tout grâce aux autres ! Vraiment le point sur lequel j’insiste fortement. Votre vision des choses va forcément être lacunaire. Vous gagnerez à entendre ce que les camarades de votre séminaire de recherche ont à dire (par exemple, vous n’êtes pas seul à écrire sur la didactique des mathématiques dans votre cursus). Partagez vos avancées !
L’avis de votre directeur de mémoire est aussi primordial : contactez le souvent, par mail ou physiquement, pour lui partager vos interrogations. Votre boussole de travail, pour un mémoire de MEEF réussi, doit être mise à jour par des échanges constructifs avec votre environnement. Le pire serait de faire le silence radio et de décevoir votre jury de mémoire par des fautes qui auraient pu être évitées par un simple échange…
Conseils généraux pour rédiger le mémoire de Master MEEF
Rédiger un mémoire est une tâche complexe, mais avec une approche « à petits pas », vous pouvez le rendre beaucoup plus gérable et même agréable (j’ai aimé écrire sur mon sujet et partager mes recherches). Voici des conseils en bric-à-brac pour votre rédaction, à prendre ou à laisser :
– Organisez le plan de façon à qu’il y ait une continuité logique dans vos pensées (regardez les mémoires présentés plus bas)
– Appuyez vos propos par des exemples et des VISUELS : proposez des graphiques, des tableaux de synthèse, un schéma…
– Utilisez des sources universitaires (c’est la base) et apprenez à faire des recherches rapidement en lien avec votre sujet : le moteur cairn.info m’a bien servi !
– Écrivez un premier jet sans prise de tête, corrigez le plus tard : vous aurez un angle d’attaque différent et une fraîcheur qui va apporter du positif à votre mémoire
– Expérimentez lors de vos stages : des témoignages d’enseignants, d’élèves, des productions prises en photo, des enregistrements audio, une enquête sur toute l’école…
– Prenez le temps de dissocier recherche et rédaction pour ne pas vous noyer
– NE PAS RESTER SEUL : partagez vos avancées (camarades de promotion, groupe de travail en séminaire, directeur de mémoire, famille / amis, etc.)
– Attention à ne pas partir dans tous les sens : pour chaque axe et sous-partie, mettez les idées principales avant de vous lancer dans la rédaction → définissez clairement de quoi va parler chaque partie de votre mémoire et en quoi ça a un rapport avec votre problématique, vos recherches et vos expérimentations.
Conseils spécifiques et points de vigilance
Avant de vous lancer : Établissez un plan détaillé (attention aux arguments utilisés)
Établir un plan détaillé vous aidera non seulement à organiser vos idées, mais aussi à suivre un fil conducteur tout au long de votre rédaction : Est-ce que vous respectez votre thème ? Votre problématique est-elle traitée dans cette sous-partie ?
La structure est l’un des éléments clés d’un mémoire réussi. Faites un premier plan, puis un second sur une feuille différente et comparez-les. Bis repetita. Une fois le plan final de votre mémoire (je dis bien FINAL), donc validé par votre directeur de mémoire, là vous rédigez un plan détaillé. Grosso modo, vous faites des tirets pour chaque sous-partie et sous-sous-partie avec les mots clés et vos principaux arguments. Ainsi, vous avez un moyen visuel de suivre votre réflexion générale sans avoir à relire tout le mémoire. C’est aussi comme ça que j’ai pu amélioré mon plan et le perfectionner petit à petit pour qu’il soit assez garni qualitativement.
Divisez votre mémoire en sections, ça peut être compliqué. C’est pourquoi je vous propose des exemples de mémoire à analyser afin de nourrir votre construction. On va commencer par un exemple de plan puis des exemples de sujets traités. Ceux-là me semblent assez intéressants dans leur structure. Notez les points communs, les différences et la progression des idées :
Prenez des exemples ! Quelques mémoires rédigés en MEEF 1er degré
– Accéder aux consciences historique et civique en CM2 : enjeux, modalités et résultats, Youri BILLET : https://dumas.ccsd.cnrs.fr/MEM-MEEF/dumas-04611885v1
– La construction de l’autonomie en classe de CP et CE1 dédoublé, Marine CASAS, Chloé MICHEL : https://dumas.ccsd.cnrs.fr/MEM-MEEF/dumas-04583828v1
– La manipulation dans le champ additif au cycle 2, Anaïs CROUZET, Margot FREGGIARO : https://dumas.ccsd.cnrs.fr/MEM-MEEF/dumas-04575894v1
– Les NTIC en géographie en classe de CM1 : l’utilisation des globes virtuels, Guilhem GUIRAUDET : https://dumas.ccsd.cnrs.fr/MEM-MEEF/dumas-03356633v1
Vous avez besoin d’un exemple spécifique à votre thème de recherche ? Il y a plus de 6 000 mémoires de Master MEEF (premier et second degré) disponibles ici : https://dumas.ccsd.cnrs.fr/MEM-MEEF/
Effectuez une recherche approfondie et attention à la gestion des sources
Une recherche approfondie est la base d’un mémoire solide : allez plus loin que la surface, sinon vous serez superficiel. Utilisez des sources académiques fiables pour étayer vos arguments (faites les dialoguer) et vos analyses (rajoutez votre réflexion par dessus). CROISEZ vos sources ! C’est la base pour une argumentation solide, surtout en recherche. De plus, assurez-vous que vos sources sont actuelles (c’est-à-dire récentes) en faisant un état de l’art. Avoir une bibliographie organisée en thématiques est aussi un plus.
N’oubliez pas d’organiser vos sources de manière systématique. Utilisez des outils de gestion de référence comme Zotero pour garder une trace de vos citations et évitez le plagiat (toujours citer, par exemple en note de bas de page, l’origine de vos propos).
Adoptez un style d’écriture clair et concis, n’en faites pas trop
Un mémoire doit être clair, précis et bien structuré. Je me répète, je sais. Évitez les phrases trop longues ou les passages complexes qui pourraient rendre votre texte difficile à lire (j’en ai fait l’expérience en relisant des amis). Vous n’êtes pas V. HUGO et évitez de faire une poésie pour exposer vos résultats de recherche !
Optez pour un style d’écriture académique qui privilégie la clarté et la concision. Visez juste. Utilisez le « nous » et le « on » plutôt que le « je ». Ce dernier est cependant pertinent pour revenir sur vos expérimentations en classe.
Attention à ne pas oublier la relecture
La relecture est une étape souvent sous-estimée mais absolument nécessaire dans la rédaction de votre mémoire. Vous avez investi un temps fou et de l’énergie, il est donc pertinent de consacrer également du temps à la relecture pour vous assurer que votre travail est aussi solide et professionnel que possible. Ce que vous allez trouver en vous relisant (et c’est normal) :
– des erreurs orthographiques, grammaticales
– un mauvais emploi de certains mots
– des lourdeurs, des répétitions, des incohérences
– des erreurs de style (sauts de page, note de bas de page, etc.)
– des contre-sens, une difficulté à suivre votre raisonnement / ce que vous lisez
– des oublis (images, tableaux, annexes, références à des auteurs…)
– des mots en double, manquants ou inutiles (ce qui complique la lecture)
– etc.…
Si vous souhaitez en savoir plus sur la relecture et la rédaction d’un mémoire, je vous conseille cet article d’une enseignante spécialisée dans la formation MEEF (elle prépare des étudiants comme vous) : https://sophiebriquetduhaze.fr/tag/problematique-memoire-master-meef/
Candidate ou candidat au CRPE ? Retrouvez les dates importantes pour les épreuves ici : https://bureaudesprofs.com/dates-importantes-inscription-crpe
Conclusion
En bref, pour réussir votre mémoire de Master MEEF, il n’y a pas de recette toute faite ! C’est à vous de créer votre méthode de travail et de vous y tenir. Il faut avant tout s’organiser en pensant le temps présent et à venir par rapport à votre concours (si vous en passez un). Choisir un sujet pertinent, structurer ses idées avec un plan détaillé, et gérer son temps efficacement sont des éléments clés pour avancer sur la route du « zen ».
Prenez le temps de faire des recherches approfondies, de les mettre en lien. Appuyez-vous sur des sources diversifiées et n’hésitez pas à solliciter des retours de votre entourage. Enfin, relisez-vous attentivement et accordez-vous des moments de repos pour garder une réflexion claire et fraîche. Avec ces conseils, vous serez plus à même de réaliser un travail propre dont vous serez fier/fière une fois le tout fini.
Préparation CRPE : les sujets (oraux, écrits) pour vous entraîner en autonomie ici : https://bureaudesprofs.com/sujets-crpe-oraux-ecrits